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Corpus en construction, amorcé en 2017, à l’intérieur duquel je m’intéresse aux constructions éphémères, aux structures faites pour « l’abrillage » de protection d’hiver entre autres. Je questionne ce type d’esthétique présent la moitié de l’année, qui préserve à l’opposé l’esthétique soignée des terrains estivaux. Je m’intéresse à ces éléments disparates qui rythment mon paysage. Mon paysage, c’est celui de la banlieue, à la fois stable et mouvant, cet environnement banal qui semble en chantier continuel est en quelque sorte affaire de temps. En usant du temps par la surexposition, de manière à ce que l’effacement survienne partiellement dans l’image, je m’inscris d’une certaine façon dans le cycle construction – détérioration – disparition du construit de mon référent. 

Abrillage
(Travail en cours)
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